Chacun, actif ou retraité, chômeur ou salarié, nous bénéficions de nombreux statuts avec droits et devoirs.
Être bénévole relève d’une tout autre logique : du don de temps librement consenti aux autres et de la totale gratuité.
Enfermer les bénévoles dans la cage d’un « statut », même avec les meilleures intentions, c’est assassiner la vraie richesse du bénévolat.
Ainsi chantons avec Pierre Perret : « Ouvrez, ouvrez la cage aux oiseaux ».
Bénévolat merveilleux, fragile, épris de liberté !